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Domaine de l’Écu

Histoire du domaine

Pour des raisons contractuelles, veuillez me contacter pour les vins du domaine de l’Écu

Vous avez certainement entendu parler du célèbre domaine de l'Écu dans le Muscadet. Créé par le grand Guy Bossard, ce domaine mythique du Val de Loire est aujourd’hui aux mains du talentueux Frédéric Niger. Pionnier du bio dans le Pays Nantais, le domaine est certifié à l’agriculture biologique depuis 1975 et à la biodynamie depuis 1998 avec Demeter. En 2004, l’Écu rejoint également le syndicat Biodyvin puis le groupement Renaissance des Appellations créé par le biodynamiste Nicolas Joly

Fred estime qu’un bon vin se fait tout d’abord à la vigne. Au chai, notre vigneron ligérien a depuis longtemps renoncé à tout intrants œnologiques. Levures, osmose inverse ou pasteurisation, tout est proscrit pour préserver le lien du terroir entre la parcelle et le vin. Seules quelques doses de sulfites sont admises mais bien loin des doses maximales autorisées par Demeter. Question élevage, l’amphore est la signature du domaine de l’Écu. Fred adore élever ses vins dans ce magnifique contenant en argile. Aujourd’hui, le vigneron possède pas loin d’une centaine d’amphores de tailles différentes, de la plus petite en 160 litres à la plus grande de 1450 litres…

Les 25 hectares de vignes du domaine permettent la création de nombreuses cuvées à couper le souffle. A base de melon de Bourgogne ou de cabernet franc, la gamme fourmille de pépites. En plus des classiques Gneiss, Orthogneiss, il faut absolument goûter le travail de Fred sur les cuvées Ange, Janus ou Taurus. Le vinificateur en herbe peut même se vanter de figurer parmi les domaines sélectionnés par les plus grands restaurants étoilés du monde comme le Noma à Copenhague ou l’Astrance à Paris… Dépêchez-vous, il n’y en aura pas pour tout le monde.
Je suis très heureux de le compter parmi les vignerons qui me font confiance !

Bourgeois-Diaz

Domaine & philosophie

D’un côté de la Marne les forêts sont denses, de l’autre les vignes recouvrent les coteaux. La Champagne commence là. Le domaine s’étend sur 6,80 hectares, 3,5 sont plantés en Pinot Meunier, 2 en Pinot Noir et 1,3 en Chardonnay. Les vignes sont en moyenne âgées de 40 ans moyenne et elles puisent leur vitalité de leurs sols argileux, limoneux et crayeux. Dans la mosaïque de vignes qui entourent le domaine, les vignes de Jérôme se distinguent par leur couleur vert tendre, leur port majestueux, et leur sol vivant. Loin des champagnes formatés et standardisés des grandes maisons, Jérôme nous propose de véritables vins de terroirs, fins, équilibrés francs et authentiques

Né en 1977, Jérôme est la quatrième génération de vignerons du côté de son père. Et comme la tradition est dans son sang, il a ressenti la nécessité de la dépasser. Ses origines maternelles espagnoles l’ont poussé à s’engager sur un chemin différent de celui de ses collègues. Sa femme Charlotte, a rejoint le domaine en 2016, et joue aujourd’hui un rôle important, en travaillant et supervisant le domaine et aidant au développement qualitatif des Champagnes

A la vigne

Pas de pesticides, pas d’engrais chimiques, pas de manipulation technologique, les vins de Jérôme et Charlotte ne sont pas seulement soignés, ils sont chouchoutés et aimés. Le domaine est certifié en viticulture bio et biodynamique depuis 2014 - l’idée étant notamment d’utiliser les éléments que la nature fournit et de les combiner au savoir-faire humain. Les préparations biodynamiques 500P (2 fois par an) et 501 (3 à 4 fois par an) sont combinées à de faibles doses de cuivre et de soufre, des décoctions de prêle, des tisanes d’ortie, d’osier, de reine des prés, de camomille, d’achillée millefeuille… Des engrais verts sont semés un rang sur deux, et un projet d’agro-foresterie a été engagé en 2019 (plantation de 50 arbres dans une parcelle de 45 ares)

La plupart des travaux se font manuellement, pied après pied, pour apporter le maximum d’attention aux vignes, ce qui explique que le domaine emploie à l’année quasiment une personne par hectare

Vinification

Les vendanges sont manuelles et la plupart des vendangeurs sont des habitués connaissant le terroir et l’état d’esprit du domaine. Les grappes sont récoltées à maturités et triées de façon à ne rentrer des raisins qu’en parfait état sanitaire

L’amour porté au travail de la vigne est identique que celui prodigué au chai. Le pressurage est particulièrement soigné grâce à un pressoir traditionnel plus respectueux de la matière et en effectuant des retrousses manuelles. Chaque cépage et chaque parcelle est pressé séparément. 2 gr/Hl de soufre sont ajoutés à l’écoulage et c’est tout !

Les jus reposent une dizaine d’heures avant d’être soutirés et mis à fermenter sur leurs levures indigènes. La fermentation malolactique s’enchaîne ensuite spontanément. Jérôme et Charlotte aiment à expérimenter différents types de contenants lors de la vinification : cuves inox, fûts, demi-muids, foudres, œufs et jarres en grès, amphores. Les vins sont laissés sur lies jusqu’au printemps sans collage, ni filtration, afin de laisser le vin s’exprimer librement

Pèira Levada

Histoire du domaine

Alexandre Durand est fils de vignerons bergeracois, mais c’est autour de Faugères qu’il décide, en 2018, de poser ses valises et de s’installer en créant, dans le cœur de l’appellation Faugères, son domaine. Il le nomme Pèira Levada, « les pierres levées en occitan », en référence aux menhirs de marbre que l’on trouve au détour de certaines de ses parcelles
En effet, après avoir dû renoncer à prendre la succession de son père, Alexandre poursuit sa quête, élaborer des vins naturels d’excellence. De formation universitaires en expériences de terrains, il parcourt les vignobles de France et acquiert de solides compétences

Rencontre avec Sybil Baldassarre

Avec Sybil Baldassarre, sa compagne vigneronne rencontrée lors des vendanges 2010 au Château Tour des Gendres, ils décident de s’installer à Faugères mais chacun de son côté avec son propre domaine. Celui d’Alexandre compte 4,5 hectares, morcelé en dix petites parcelles de vignes tout autour de la commune de Laurens. Du Carignan, de la Syrah, du Grenache, un peu de Cinsault et du Mourvèdre, plantés sur des sols de schistes, marbres et granits

Philosophie du domaine

Le vignoble est conduit selon les principes de l’agriculture biologique et biodynamique. Toutes les opérations pratiquées à la vigne privilégient le maintien de la vitalité du sol avec le plus grand respect du Vivant. Les raisins, ramassés manuellement en cagettes, sont éraflés et encuvés par gravité, puis vinifiés avec leur flore indigène, sans qu’aucun intrant œnologique ni sulfite ne soit utilisé. La grande majorité des vins sont mis en bouteille sans sulfite ajouté.
Jeune vigneron de l’appellation Faugères, Alexandre Durand élabore des vins natures, pour que le terroir puisse s’exprimer pleinement et que l’émotion transparaisse. Les vins naturels du Domaine Pèira Levada sont dynamiques, juteux, vivants

Les vins

Lust for Wine

The Velvet Underschiste

Carignan le Radical

Domaine de Montaillant

Histoire du Domaine de Montaillant

Alexis Hudon est Québecois. Sommelier de formation, il a travaillé dans divers restaurants et bistrots au Canada. En 2014, il vient en France pour faire les vendanges chez Julien Guillot (Le Clos des Vignes du Maynes) et Nicolas Reau (Anjou). Il passe ensuite un an à Paris pour travailler dans la restauration. Il rencontre Lise & Bertrand Jousset et passera 3 ans par intermittence chez eux tout en suivant une formation viti-oeno

Par amour, il s’installe à Bourges et créait sa maison de négoce en 2018. Il achète des raisins bio à des amis en Touraine, Saumur et près de Nantes. Il participe aux travaux dans la vigne et aux vendanges. En cave, pas d’intrants mais il s’autorise une dose minime de soufre.
Alexis vient tout juste d’acquérir 6 hectares de vignes pas loin de Bourges entre Pouilly sur Loire et Never, en appellation « Les Côtes de la Charité ». Des vignes de Chardonnay et Pinot Noir sur un sol argilo-calcaire et de marnes blanches. Une nouvelle aventure commence: Le Domaine Montaillant produisant du chardonnay et du pinot noir sur des terroirs argilo-calcaires du Jurassique

Les vignes

Les vignes du domaine Montaillant sont conduites en cultures biologiques avec utilisation de tisane de plantes pour les traitements, tailles en flux de sève, respectueuse de la plante

La vinification

Ils utilisent le souffre en petite dose sur les moûts avant fermentation pour partir sur des bases saines et éviter les déviances en début de fermentation. Les vins sont ensuite clarifié par des soutirage successif et ne subisse aucune filtration, collage ou d'autre manipulation grossière

Les vins

Montaillant, blanc à base de Chardonnay, élevé en cuve béton

La Table, Pinot noir, élevé en cuve béton et fût

La Démarrante, pet nat de chardonnay, 12 mois de latte et dégorgé

Domaine Philippe Gilbert

C'est dans le cadre de ma visite au salon de la Levée de la Loire édition 2022 que j'ai rencontré Philippe Gilbert. Ce personnage m'a tout de suite plu dans sa manière de s'exprimer et de son enthousiasme à propos de ses vignes, ses vins, sa philosophie de vie

Un domaine sur l'appellation Menetou-Salon

Régis Descotes

Rencontre

C'est au cours de la visite du Salon des vins "La levée de la Loire" édition 2022 à Saumur que j'ai, par recommandation, rencontré Régis Descotes. J'ai tout de suite accroché avec ce personnage haut en couleur et doté d'un verbe élaboré et de magnifiques convictions. J'ai senti derrière cet homme une passion de son métier, de son terroir et de la nature. Un passion et un savoir faire qu'il n'hésite aucunement à partager avec des personnes qu'il ne connaît pas encore...

Historique

En 1689 déjà que cette maison, et les ancêtres de Régis vinifiaient ces Vins du Lyonnais ! Dès 1774, les vins Blancs (déjà!) et les vins Rouges du Domaine étaient diffusés à Lyon et ses environs, mais aussi de St-Étienne au Dauphiné.

Au fil des siècles, François OGIER, François CAILLAT, François DESCOTES… ont entretenu et transmis ce patrimoine viticole. Aujourd’hui Régis DESCOTES continue de perpétuer avec passion cette tradition vigneronne.

Au cœur d’un vignoble deux fois millénaire, aux portes de Lyon, que Régis perpétue aujourd’hui une tradition familiale née en 1689 à Millery. De ses ancêtres, il a retrouvé cette volonté de « vivre » son terroir en accompagnant la nature et en élaborant des vins fidèles, reflets de son savoir-faire mais aussi de leur savoir-vivre… Bonne visite à la découverte de leur Coteaux du Lyonnais !

Portrait du domaine

Il y a 20 ans, devenir vigneron, c’était la grande aventure dans laquelle se sont jetés Eric et Laurence Texier. Un rêve pour qui est sans aucun antécédent familial proche de la vigne ou du vin, juste des amateurs de vins passionné. Pas à pas, le domaine a créé pour compter aujourd’hui 12 ha sur l’appellation confidentielle de Brézème dans le Rhône nord et en Ardèche, juste à côté dans la vallée de l’Ouvèze.

Leurs approches et leurs philosophies sont nées de cheminements personnels, de lectures, de rencontres de vignerons emblématiques à travers le monde et d’agriculteurs non conventionnels.

Vignobles confidentiels

Le domaine est établi sur deux terroirs bien distincts dans le nord de la vallée du Rhône - Brézème dans la Drôme (rive gauche du Rhône) et dans la vallée de l’Ouvèze en Ardèche (rive droite), deux secteurs bien identifiés sur les cartes viticoles du Rhône mais quasi oubliés du fait de leur superficie confidentielle et de leur isolement géographique. 

Brézème est un coteau calcaire orienté au sud, dernière arête du Vercors à l'embouchure de la Drôme. La vallée de l'Ouvèze, côté Ardèche, marque la séparation géologique entre le Massif Central et les Cévennes. Le vignoble, orienté au sud, constitue un flanc granitique avec à sa surface un mélange de schistes et de gneiss et des îlots calcaires.

Sol vivants, vins vivants

Ils travaillent en agriculture biologique depuis l’origine et leurs méthodes agricoles sont dirigées vers l’agroécologie (enherbement, non labour, travail manuel...). Des 2 rives du Rhône, les vignes sont âgées de 30 à 90 ans, et de nouvelles plantations entrent doucement en production pour les cépages blancs Roussanne et Clairette.

Vinification

Leur style de vinification est traditionnel et très minimaliste : levures indigènes, macérations grappes entières, pas de soufre sur vendanges ou sur moûts, élevage en cuves béton ou en foudres pendant 10 à 48 mois selon les cuvées, pas de filtration ni de collage, aucun intrant jusqu’à l’embouteillage. L’utilisation de sulfites à l’embouteillage est possible sans être systématique, toujours au minimum et selon les cuvées, le millésime et le terroir. Environ 20% des vins peuvent être embouteillés sans sulfites sans qu’il s’agisse d’une posture de principe.

Les vins du domaine

Les principales cuvées en rouge et en blanc proviennent des vignobles de Brézème et de la vallée de l’Ouvèze, aujourd’hui exploités par notre fils Martin qui s’est installé à son tour. Nous produisons également quelques cuvées de Côte Rôtie et de Châteauneuf du Pape rouge et blanc en achat de vendanges à des vignerons amis, qui travaillent avec la même philosophie (agriculture paysanne , désherbage mécanique, cuivre et soufre uniquement).

Une cave pour l’élevage

Trouver une cave adaptée à leurs souhaits n’était pas la moindre difficulté. C’est seulement en 2020 que Martin pu entreprendre la construction d’une véritable cave au pied des vignes. Entre-temps, ils ont séparé la cave de vinification située à Brézème et la cave d’élevage à Charnay au nord de Lyon où est la maison familiale. La cave de Charnay, enterrée, datant du XVIème siècle, leur offre un lieu idéal à l’élevage de nos vins en foudres, en demi-muids ou en cuves béton.

Apprendre, encore et toujours

Ils mettent tous leurs efforts chaque année à faire des vins qui ressemblent à ce qu’ils sont, portés par le terroir et par le millésime. Encore aujourd’hui, ils sentent qu'ils ont encore beaucoup à comprendre de leurs sols, de leurs vins et de la nature qui les entoure, pour mieux le partager et pour le transmettre. Ils veulent agir pour que la vigne et les vins surmontent les grands changements environnementaux et climatiques, réimplanter des cépages historiques qui peuvent s’adapter, réapprendre les gestes paysans du greffage, du marcottage, aider les sols à nourrir et fortifier les vignes. C’est encore le début d’une histoire.

Mas Foulaquier au Pic-Saint-Loup

Genèse

Foulaquier est un lieu-dit dont le cœur bat entre les murs d’un mas très ancien, posé dans un paysage de garrigue méditerranéenne. Les premières traces de civilisations dateraient de l’an mille. Les archives du domaine, elles, remontent à 1445, témoins précieux d’une histoire écrite par de nombreuses familles, des Brissac aux Condamy, jusqu’aux derniers propriétaires fermiers, André et son père, qui ont exploité les terres jusqu’en 1974

Le Domaine

Le vin naît d’abord de la connivence entre un lieu et un homme ou une femme. Pierre fut le premier à rencontrer le Mas Foulaquier, en 1998. Sa profonde passion pour le vin et son intense désir d’exercer un métier artisanal le pousse alors à troquer ses habits d’architecte pour le bleu de chauffe du vigneron. Sa quête du domaine rêvé trouve son épilogue quelque part dans le Languedoc. Pierre trouve son terrain de jeu au pied du Pic Saint-Loup : un mas joliment resté dans son jus, des vignes jeunes mais un terroir superbe !

Les forces du Mas Foulaquier

Blandine arrive quelques années plus tard, en 2003. Fonctionnaire parlementaire à Paris, elle commence à flirter avec le vin dans les dégustations du club œnophile de l’Assemblée Nationale puis décide de l’épouser pour de bon : vendanges à Cairanne, taille dans le Muscadet, écriture d’un livre intitulé « Portraits de Vignerons », BTS viticulture et œnologie de Mâcon, elle dessine un itinéraire buissonnier jusqu’à s’installer en Anjou… avant de rejoindre Pierre au Mas Foulaquier.

Le Mas Foulaquier, ancré dans le terroir en regardant vers le futur

Depuis le premier millésime, en 1999, le Mas Foulaquier a évolué de manière considérable et reste plus que jamais en mouvement. Souffler ? Ce serait ignorer les projets qui animent sans cesse Blandine et Pierre.

Le Verdus

Situation

Au domaine le Verdus, sur les coteaux schisteux et gréseux exposés plein sud, Aline Solignac et Philippe Rousseau produisent des vins blancs, rouges, rosés en AOC Marcillac et vin de Pays de l'Aveyron. 

Un domaine à taille humaine où les vignes, en conversion vers l'agriculture biologique, sont travaillées dans le plus grand respect de l'environnement. Vins naturels de cépages locaux.

Toulonnais d'origine, Philippe Rousseau s'est installé comme viticulteur, depuis 2014, sur la propriété familiale de sa compagne, Aline Solignac, une petite fille et fille de vignerons, au domaine Le Verdus, sur les coteaux ensoleillés de Saint-Cyprien-sur-Dourdou. Le jeune couple y produit des vins rouges, blancs et rosés en AOC Marcillac et IGP Vins de l'Aveyron. En complément de l'activité viticole, Aline cultive également des asperges et élève des vaches. 

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